. Bruxelles à travers les âges . avant-colonel baron Auguste de Teellaert (1703-1876). ai j. : 1 IJ Alvm, qui pleure, il y Homme de lettres, composeur de musique et dessineur belge. Daprès la lithographie de Baugniet. A un an> conservateur CIL chef de la Bibliothèque royale et membre de l'Académie. La pièce eu deux représentations. Ce fut un fourimmédiat et incontestable, mais on ne peut pas décourter le jeune audacieux qui, premier ministre en Belgique, affrrontait les pieux de la haute littérature dramatique. Critique aimable, Charles Levèque, jugea la pièce en ces termes : « la chute de

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. Bruxelles à travers les âges . enant-colonel baron Auguste de Teellaert (1703-1876). ai j. : 1 IJ Alvm, qui mourut, il y Homme de lettres, compositeur de musique et dessinateur belge. Daprès la lithographie de Baugniet. a un an> Conservateur Cil chef de la Bibliothèque royale et membre de lAcadémie. La pièce eut deux représentations. Ce fut un fourimmédiat et incontesté, mais on ne voulut pas décourager le jeune audacieux qui, lepremier en Belgique, affrontait les périls de la haute littérature dramatique. Uncritique aimable, Charles Levèque, jugea la pièce en ces termes : « La chute deSardanapale ne prouve contre M. Alvin quun manque dexpérience dramatique. Sousle rapport littéraire proprement dit, sa traduction est souvent digne déloges. Nousavons saisi au passage des vers bien frappés, de belles tirades. La partie poétiqueest, en général, assez bien traitée, et, en retouchant son ouvrage, nous croyons queM. Alvin trouvera des lecteurs qui pourront le consoler de la sévérité des specta-. CHAPITRE II. 247 teurs, sévérité que nous sommes forcé dapprouver, parce quelle nous semblejuste. »... « Cet échec », ajoutait Levèque, « ne découragera personne, nous lespérons.Avant de parvenir à pouvoir nous glorifier dun théâtre national, plusieurs témérairesauront succombé, mais ces chutes auront leur utilité. Dun côté, le public apprendraà juger. Et de lautre, nos jeunes écrivains se-ront forcés détudier lesgoûts du public et dechercher ainsi les élé-ments dune littératureindigène. » Charles Froment, moins indulgent que sonconfrère Levêque, se mo-qua de la pièce impi-toyablement. Cest luiqui dénonça le fameuxvers : Le sceptre dans ses mains nest pas[un petit poids. Cétait une parodie.Alvin avait écrit, et celane valait guère mieux : Le sceptre dans ses mains nest pas[un faible poids. La tragédie de LouisAlvin eut un singuliersort. Franconi, qui diri-geait un cirque célèbre, en fit un drame équestre qui

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