'Cotes de Quad'; . Ce n'est pas un dromadaire. De Hang au halter, Tom, alors que je me suis rué le cundurango infernalold haut fort!. COMMENT UNE FEMME LIT UNE LETTRE. Il le sait par le cachet de la poste. Personne, mais AugustaAnn Greenville vit où cette lettre a été postée. Elle retourne la lettre plus de neuf ou dix fois, semble voir ifit a été falsifié, et finalement ppouces un endopen. Elle regrette de ne pas l'ouvrir sur le côté, le butit est trop tard. Après la lettre est dehors, elle regarde dans l'enveloppe pour voir si elle contient quelque chose de plus, bien que shesu il ne l'a pas fait. Elle déplie enfin la lettre et la débarque pour voir t

• Contributeur: The Reading Room / Alamy Banque D'Images
• ID de l’image: 2AWRH45
• Taille du fichier: 7,2 MB (216,8 KB Téléchargement compressé)
• Autorisations: Modèle - non | Propriété - non
• Dimensions: 2236 x 1118 px | 37,9 x 18,9 cm | 14,9 x 7,5 inches | 150dpi

Informations supplémentaires

Cette image appartient au domaine public, ce qui signifie que le droit d’auteur a expiré ou que le titulaire du droit d’auteur a renoncé à ses droits. Les frais facturés par Alamy couvrent l’accès à la copie haute résolution de l’image.

Cette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de reportage.

"Quad's odds"; . Not a Dromedary. out Hang to the halter, Tom, while I wollop the infernalold cundurango up strong!. HOW A WOMAN READS A LETTER. HE knows it by the postmark. No one but AugustaAnn Greenville lives where that letter was posted.She turns the letter over nine or ten times, looks to see ifit has been tampered with, and finally pinches one endopen. She regrets that she didnt open it on the side, butit is too late. After the letter is out she looks into theenvelope to see if it contains anything more, though sheknew it didnt. She unfolds the letter at last, and flops it over to see thesignature on the fourth page. Then she reads the date andcompares it with the postmark to see how long the preciousmissive has been on the road. Two whole days! Blessher! but she has been to Fishertown a dozen times, and itnever took her but twenty-three hours. Those post-officefolks are getting awful reckless. By and by they wontcare whether she gets a letter at all. She finally reads: Dear, darling Mollk:—I have had such times since Iwrote you before ! You know Jim Taylor (Then she talks): Know Jim Taylor

Recherche dans la banque de photos par tags

• booka
• bookcentury1800
• bookdecade1870
• bookornament
• bookyear1875