Deux siècles de chanson : ou, Lyrics, madrigals, sonnets, et autres versets occasionnels des poètes anglais des deux cents dernières années . est-il des heures seules ? Des points de vue ingénieux engagent ses pensées sur des thèmes de style faussement classique, intention. Alors que la piété cloître montre Son rouleau de mue, l'oeil de perçage explore les nouveaux manières, et le pompe des jours plus anciens. Quel est le point culminant du barde pensif hi^ dans les magasins illustrés. Pas rugueux ni stérile sont les voies sinueuses De l'antiquité des cervelles, mais parsemées de fleurs. SUR LA VISITE DE LA RIVIÈRE LODDON. Oh ! Quelle course fatiguée mes pieds ont runSince d'abord, j'ai trodé tes banques, avec adle

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Two centuries of song : or, Lyrics, madrigals, sonnets, and other occasional verses of the English poets of the last two hundred years . is lone hours ? Ingenious views engage His thoughts on themes unclassic falsely styled, Intent. While cloistered piety displays Her mouldering roll, the piercing eye explores New manners, and the pomp of elder days. Whence culls the pensive bard hi^ pictured stores. Not rough nor barren are the winding ways Of hoar antiquity, but strewn with flowers. ON REVISITING THE RIVER LODDON. Oh ! what a weary race my feet have runSince first I trod thy banks, with alders crowned.And thought my way was all through fairy ground.Beneath the azure sky and golden sun—When first my muse to lisp her notes begun !While pensive memory traces back the roundWhich fills the varied interal between ;Much pleasure, more of sorrow, marks the scene.Sweet native stream I those skies and suns so pureNo more return to cheer my evening road I .Yet still one joy remains, that not obscureNor useless all my vacant days have flowedFrom youths gay dawn to manhoods prime mature, Nor with the Muses laurel unbcstowcd. 93.

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