Gazette des beaux-arts . apitale et quon ne saurait exagérer. Limpression fut grande alors, elle se refléta dans les manuscrits dutemps. La Vasari et pouline très facilement il conclut ainsi : un lAlbertiquella ridusse Insomma fabbrica in modo che, par cosa soda, ellè famositempi dItalia uuo de PIU. " Nardi, lui, qui consacrait un travail spécial, une mono-graphie entière au temple (où malheureusement il ne gravait que lafaçade principale sans pénétrer dans lintérieur), na pas hésité à dire enface de San-Francesco : (( Le plus beau temple de la plus belle époque de LES ARTS A LA GOUli DES MÂLATESTA^ AU XV TR

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Gazette des beaux-arts . apitale et quon ne saurait exagérer. Limpression fut grande alors, elle se refléta dans les manuscrits dutemps. Vasari la constatée et il conclut ainsi : a Insomma ridusse lAlbertiquella fabbrica in modo che, per cosa soda, ellè uuo de piu famositempi dItalia. » Nardi, lui, qui consacrait un travail spécial, une mono-graphie entière au temple (où malheureusement il ne gravait que lafaçade principale sans pénétrer dans lintérieur), na pas hésité à dire enface de San-Francesco : (( Le plus beau temple de la plus belle époque de LES ARTS A LA GOUli DES MÂLATESTA AU XV^ SIECLE. U3 lart. )) Notre description de lextérieur, quoiquelle ne sappuie que surune petite vue pittoresque, devra nous suffire pour linstant, car le sta-tuaire na aucune part à la décoration. Larchitecte a réservé toute larichesse pour lintérieur; il sest contenté, pour sa façade, de dessinerde grandes lignes nobles et fières. Avant de franchir le seuil du temple, fidèles à notre système dap-. FAÇADE LATERALE liU. TEMPLE DBS MALATESTA. puyer lart sur lhistoire et de les corroborer lun par lautre, nous dironsquels restes renferment les sept sarcophages placés sur le bandeau dusoubassement de la façade latérale de droite. On conçoit que dans unrecueil spécialement consacré à lart nous nous contentions dindiquerles personnalités;- nous réserverons les développements pour létudedéfinitive, où nous comptons faire graver lœuvre sous tous ses aspects.La forme de ces sarcophages est celle adoptée pour léglise primitive.Les descriptions ne laissent aucun doute sur les cendres que contientchacun deux. On devait sattendre à trouver là, comme cétait la penséede Malatesta, les restes de tous les savants, artistes et littérateurs qui l/ii GAZETTE DES BEAUX-ARTS. avaient été les pensionnaires de la cour; ceût été alors pour Riniini cequest Santa-Groce pour Florence et Westminster Abbey pour lAngle-terre ; mais, nous le répétons encore,

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