Gazette des beaux-arts . es dentelles, rien nembarrasse hardispinceaux la SCÉ. Gens habiles, sil en fut. Que leur manque-t-il donc ? Ne l'Dêtreun habiles et un peu plus savants. On nous répondra que le Bernard Palissy de M. et al. a été payé 25 000 francs. Nous le savons. Nous savons aussi que M. Vetter une faitjadis dexcellents tableaux vivants. Sur se souvient de Molière chez le barbier.Son exécution ét# il alors plus ferme, sa composition mieux balancée.Peut-être moins dans la chambre-il au théâtre. 11 neût pas imaginé de placer lecélèbre potier sur le devant de la scène récitant son monologue, pendantque le ch

• Contributeur: The Reading Room / Alamy Banque D'Images
• ID de l’image: 2AJ0GM3
• Taille du fichier: 7,1 MB (768,1 KB Téléchargement compressé)
• Autorisations: Modèle - non | Propriété - non
• Dimensions: 1317 x 1897 px | 22,3 x 32,1 cm | 8,8 x 12,6 inches | 150dpi

Informations supplémentaires

Cette image appartient au domaine public, ce qui signifie que le droit d’auteur a expiré ou que le titulaire du droit d’auteur a renoncé à ses droits. Les frais facturés par Alamy couvrent l’accès à la copie haute résolution de l’image.

Cette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de reportage.

Gazette des beaux-arts . es dentelles, rien nembarrasse ces hardispinceaux. Habiles gens, sil en fut. Que leur manque-t-il donc? Dêtreun peu moins habiles et un peu plus savants. On nous répondra que le Bernard Palissy de M. Yetter a été payé25, 000 francs. Nous le savons. Nous savons aussi que M. Vetter a faitjadis dexcellents tableaux. On se souvient de Molière chez le barbier.Son exécution ét#it alors plus ferme, sa composition mieux balancée.Peut-être allait-il moins au théâtre. 11 neût pas imaginé de placer lecélèbre potier sur le devant de la scène récitant son monologue, pendantque le chœur chante par derrière : « Navançons pas ! parlons bas ! »Encore M. Vetter, en dépit de lopinion qui le surmène, demeure-t-ilun homnie de talent. Ses petits bonshommes à 2, 000 francs la piècesont dun honnête dessin, et lair circule dans le vide de son tableau.Mais MM. Fichel, Hue, Ulysse et les autres ! Veuillez jeter les yeux surles Noces de Gamachc de M. Fichel : des figures découpées, un. Par M. Landelle 346 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. sans air, un jour égal partout, et point de lumière : où jattends untableau, je naperçois quune image. La Première leçon darmes est unescène dune intention spirituelle : jy retrouve la même propreté exquise, la même économie bourgeoise, la même horreur du sacrifice. Regardezde près la Manon Lescaut de M. Hue. Quelle proportion entre son brasdroit, court et mince, et le reste de sa personne? Sans doute M. Huechiffonne bien le costume Louis XV; M. Gérard aussi; mais plus cescostumes captivent mon regard, plus je sens les mannequins qui lesportent. Que sera-ce si lon examine sérieusement, comme des œuvres qui seprétendent sérieuses, les pastiches de M. Tissot? Le mot nest pas tropdur, car souvent M. Tissot a imité M. Leys au point de faire illusion. Leprestige archéologique écarté, M. Leys reste un homme, dessinateurprécis, coloriste puissant. Si vous déshabillez le Faust au-jardin, deM. Tissot, v

Recherche dans la banque de photos par tags

• bookcentury1800
• bookpublisherparissn
• booksubjectart
• bookyear18