. Gazette des beaux-arts . -être un peu plus. Il existe des recherchesque Sperandio (à ne pas ignorer le nom de baptême) naquitvers 1441, et pleurent presque nonagénaire, plus que centenaire mêmeau dire de Baruffaldi qui, après examen, ensemble un peu suspect àM. Heiss. Il apparait à une famille de peaux et de sculpteurs, étalis depuis sont des longtemps à Mantoue, et ne sont pas des quelques membresavaient émigré à Ferrare. Sperandio ne doit pas être identifié par un autre nom de fichier Miglioli et signifiant Meliolus ou M. S. quelle comte DARCO, dans son livre, Délie uni et degli artefici d

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. Gazette des beaux-arts . -être même un peu plus. Il résulte de ses recherchesque Sperandio (dont on ignore jusquau nom de baptême) naquitvers 1441, et mourut presque nonagénaire, plus que centenaire mêmeau dire de Baruffaldi qui, après examen, semble un peu suspect àM. Heiss. Il appartenait à une famille de peintres et de sculpteurs, établis depuis assez longtemps à Mantoue, et dont quelques membresavaient émigré à Ferrare. Sperandio ne doit point être identifié avecun autre médailleur nommé Miglioli et signant Meliolus ou M. S. quele comte dArco, dans son livre, Délie uni et degli artefici di Mantova, I. Voy. Gazette des beaux-arts, 2e période, i. XXIV, p. Iliii: I. XXV, . 180;I. XXVII, p. 77, cl l. XXXII, p. 229. 2. LAcadémie vient de décerner ù louvrage de M. Heiss le prix Duchalais, partagé avec M. Garriel. LES MÉDAILLEURS DE LA RENAISSANCE. G9 veut, sans raisons suffisantes, confondre avec notre maître, et dontles œuvres sont dun autre style et dune fabrique toute différente.. - • BUSTE DE J EAN-F H A X ÇO I S DE GONZAGUE. (Mus<3G communal de Mantouc.J Enfin, la date des débuts de Sperandio ne peut pas être reculée au delàde 1466, puisque nous avons de lui une médaille de Francesco Sforza, 70 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. duc de Milan, mort en 1466, et une autre de Marino Caraccioli, maréchal de Naples, mort en 1467, après un voyage à Ferrare dansles derniers mois de 1466. Daprès la tradition, Sperandio na pas été seulement un grandmédailleur, mais de même que tous les Sperandio, de même que tousles artistes de cette bienheureuse Renaissance, il était non moinsrenommé comme peintre, comme orfèvre, comme sculpteur et commearchitecte. Cest à lui quon attribue le célèbre buste dAndréaMantegna que nos lecteurs connaissent par la belle description denotre ami Paul Mantz, et dont la Gazette vient de donner une repro-duction. On cite encore, comme étant de Sperandio, le buste, en terrecuite du jurisconsulte Niccolô S

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