. Gazette des beaux-arts . V. — 2« PÉRIODE. 258 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. Entreprise des Tuileries pour celle de lhôtel de Soissons, puis modifié Louis XIV, à ne pas faire les murs sont rés debout. Aussi na-t-onpoint à la caisse des petits gâteaux, croii-on, à Henri IV et à BaptisteAndrouët du Cerceau; une réunissait le palais de Catherine-de Médicisavec le pavillon de flore; lautre, achevée en 162Ù par J. Lemercier, lefaigissait de Pavillon avec le Pavillon de Marsan. Ces bâteurs, qui jadisétaent en traite sur les pavillons de Jean BuUant, ont été présentés en leur alignement

. Gazette des beaux-arts . V. — 2« PÉRIODE. 258 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. Entreprise des Tuileries pour celle de lhôtel de Soissons, puis modifié Louis XIV, à ne pas faire les murs sont rés debout. Aussi na-t-onpoint à la caisse des petits gâteaux, croii-on, à Henri IV et à BaptisteAndrouët du Cerceau; une réunissait le palais de Catherine-de Médicisavec le pavillon de flore; lautre, achevée en 162Ù par J. Lemercier, lefaigissait de Pavillon avec le Pavillon de Marsan. Ces bâteurs, qui jadisétaent en traite sur les pavillons de Jean BuUant, ont été présentés en leur alignement Banque D'Images

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RM2CDX24J–. Gazette des beaux-arts . V. — 2» PÉRIODK. 43 ANDRÉ DEL SARTE (quatrième et dernier article.) VI. ^/^3a A UT-il croire quAndré del Sarte aitattendu justiquen 1525 pour saperce-voir quil était un maître ? Naurait-ileu lexacte notion de la place quilococpait dans lart florentin quaprèsléclosion de son dernier chef-dœuvre,la Madonna del Sacra? De telles dé-fiances ne sexpiqueraient guère, etlon ne comprendrait pas quun pareilartiste eût pu, pending si longtemps,j v^ * ^^^ ^^ douter de lui-môme. 11 est certain quecest en 1525 seulement que le nom dAndréa dAgnolo del Sarto di-j}iiito}-e se trouve

RM2AJ20D7–Gazette des beaux-arts . artistes des menus. A cet historique, il apprenait le nom etloeuvre de ses prédécesseurs, Guillemot, Philippe Lebègue, PierreOlivier, Delaunay, Lefebvre et Gilles Boileau, duché, avec Pierre deSoubeyran, fils trésorier, Danet et Villegenou Saint-Disantlhomme,de Ferrand du Sacre de Louis XV, Lenoir de ceindre, Blondel de Gagny, deBonneval et de Curis. Cétaient autant de maîtres ordonnateurs luiapparaissant each with its artistes en titre : Vigarany, Torelli,de Gissey, Bérain, Meissonnier, Perrot, les quatre frères Slodtz, tousesprits alertes, toujours prêts aux impromptu

RM2AKGC0G–Gazette des beaux-arts. . Françaises aux porches des cathédrales et sur les tom-beaux. Lorsquon rencontra des bonnes gens de métier comme les ?Colombe, comme les Clouet, naïfs, dédaigneux des deséruditions vrltramoiitaines., point bernés de littératures décadentes, seulementoccupésà traduire ce quils voyaient dans toute la candeur de leuresthétique pieuse. Même sous Louis XIV, quels furent les meilleurs, sinon les portraitistes, et sous Louis XV- les vignettistes. touschroniqueurs, ingénieux de notre vie, et peu soucieux décrire lhis-toire de France en langage romain ? Les renaissances au ?nont fon

RM2AKFAM8–Gazette des beaux-arts. . Ornée dattributs, avec une imposte deconsoles accostée à enroulements fleuronnés de lépoque de Louis XV. Létablissementde la place Vendôme remonte au ministre Louvois,qui fit acheter les terrains de lhôtel Vendôme-Mercoeur et une partiede lemplacement des Nouvelles-Capucines, pour y créer un ensemblearchitectural, dont les bâtiments uniformes devaient renfermer laBibliothèque royale, la monnaie et les Académies. Après sa mort, ceprojet fut abandonné, et les façades, construites par Mansard, furentvendues à des particuliers, qui achevèrent les maisons.Ony érigeait enmêm

RM2AM5C1T–Gazette des beaux-arts . elles ne devraient plus avoir de mys-tère, que le feu des torches plébéiennes de Rimini un fait consciencieu-sement fils oeuvre. - Non cependant ! Il a respecté cette poésie enlangue vulgaire dédiée à Isotta, ignorée des plus compétents et desplus spéciaux et signée du nom de Sigismond Pandolphe, que jaitrouvée mêlée aux manuscrits de matière ecclésiastique, quon maparcimonieusement communiqués : elle est linterprétation inattendue et LES ARTS A LA COUR DES MALATESTA AU XV^ SIÈCLE. 453 absolument littérale, de dix-huit bas-reliefs sculptés dans deux deschapelles du Temple

RM2ANAJF5–Gazette des beaux-arts . stoire de laDentelle, de M^ Palissier, traduite de langlais par^ M de Clermont-Tonnerre. Les styles des différentes époques sont minutieusement décrits, ainsi que les divers procédés de fabrication. Voici par exemple une bellebarbe faite à Gênes et dont le dessin est de lépoque Louis XV : " Lecharmant fond en réseaux variés rappelle la fleurette de Dresde et loeilde perdrix de la porcelaine de Sèvres, à la même époque. A Gênes, est appelée cettedentelle argenl<ella ; sur envoyait beaucoup autrefois dans lesboutiques de curiosités de cette ville ; maintenant elle est deve

RM2AM5XWJ–Gazette des beaux-arts . LES MEDAILLEURS ITALIENS DES XV ET XVP SIÈCLESi I.. Parmi les débrisdu cabinet de son père,dobjets amateur diiis-toire naturelle et dan-tiquités, recueillis parM Clémentine PoëydAvant % qui fut mapremière initiatrice àla science numisma-tique, se trouvaientquelques médailles ita-liennes etXVI des XV siècles. On y re-surfoutcellesde Eve-lange marquait Piccinino et III de Gonzague,par Pisanello ; de Caracalla enfant, oeuvre de Boldù ; de Nicolas Malegrassi,évêque dUzès ; de Victor Camelio par lui-même, et celle, précieuse pournous entre toutes, de notre compatriote Tir André

RM2ANAYHF–Gazette des beaux-arts . près les tableaux des maîtres et enrichie dune ornementationdont les motifs sont empruntés à la Renaissance italienne. Chaque pageest décorée de bordures, de lettres initiales prises dans les manuscritsitaliens des XV et XVI siècles, et de nombreux médaillons daprès lesoeuvres de Raphaël sont encastrés dans les bordures avec lesquelles ilsfont corps. La richesse de ces encadrements est même telle que les com-positions de Raphaël napparaissent en quelque sorte que comme unaccessoire. Ce Nouveau Testament est un très-beau livre de luxe, maison ny is the pas, comme dans le

RM2AMXTY6–Gazette des beaux-arts . sacre un fait historique, une investiture, un combat célèbre, ou une campagne heureusement terminée. CEST une grande bonne fortune pour lhistoire de volet à lappoides fait des documents dune aussi noble allure. INous serons encorebien servis par les monuments, en édiant, après la vie de Sigismond, celle de la femme qui a tenu une si grande place dans sa vie. ISOTTA. — MATTEO DA PASTI. — REPRÉSENTATIONS PLASTIQUESdiSOTTA. — SA PERSONNALITÉ. Quelle est donc, dans la numis-matique italienne du xv siècle, cettereprésentation huit fois perpétrée, im-mortalisant le souvenir

RM2AMY0GW–Gazette des beaux-arts . alatesta est la petite ville de Pennabilli, interpréiteentre deux rochers (Penna-Billi) , la seconde cité de celte province de 1. Filippo Ugolini, riistorien des ducs Durbin, ne tient pas compte des docu-roenls qui concernent Giovanni Malatesta « CAvis Ariminensis » dès 4180. UN NEVEU LES ARTS A LA COUR DES MÂLATESTA AU XV SIÈCLE. 21 Montefeltre que les seigneurs de Rimlni ensanglantèrent par les luttescontinuelles avec Urbin. Ils sont admis, dès lexique siècle, au droit de citédans Rimini,et dès 1216 un Malatesta exerce la magistrature de podestat.On connaît lalliance d

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