Grainne Teggart, directrice adjointe d'Amnesty International Royaume-Uni pour l'Irlande du Nord, s'est adressée aux médias devant la haute Cour de Belfast après qu'un juge de la haute Cour ait jugé illégal l'un des éléments clés de la loi sur les troubles du gouvernement britannique. Le juge Adrian Colton a jugé que la disposition de la loi relative à l'immunité conditionnelle de poursuites pour les infractions liées aux troubles n'était pas conforme à la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). Date de la photo : mercredi 28 février 2024.

$Grainne Teggart, directrice adjointe d'Amnesty International Royaume-Uni pour l'Irlande du Nord, s'est adressée aux médias devant la haute Cour de Belfast après qu'un juge de la haute Cour ait jugé illégal l'un des éléments clés de la loi sur les troubles du gouvernement britannique. Le juge Adrian Colton a jugé que la disposition de la loi relative à l'immunité conditionnelle de poursuites pour les infractions liées aux troubles n'était pas conforme à la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). Date de la photo : mercredi 28 février 2024. Banque D'Images$

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28 février 2024

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RM2WMWTW3–Grainne Teggart, directrice adjointe d'Amnesty International Royaume-Uni pour l'Irlande du Nord, avec les familles des victimes et les sympathisants devant la haute Cour de Belfast, avant sa décision dans une contestation judiciaire historique de la loi sur les troubles du gouvernement britannique, introduite par plusieurs victimes du conflit en Irlande du Nord. Martina Dillon, John McEvoy et Lynda McManus ont contesté la conformité de la loi aux droits de la personne, y compris le refus d'enquêtes, l'absence d'enquêtes adéquates et l'interdiction des actions civiles. Date de la photo : mercredi 28 février 2024.

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