. Histoire des théâtres de société. ^ ? ?. && ? À pleines mains. Lorsque lImpératrice était prête,nous raccompagnions chez lEmpereur ; puis, pré-cédées dun des préfets du Palais, Leurs Majestésentraient dans le salon des cartes, où se tenaientles invités formant un grand cercle. Le Prince don-nait la main à lEmpereur ; je tenais la main duPrince, et ma mère et mon père ouvraient degrands veux en moi faisant signe de me tenir droit.On passait alors dans la salle à manger de deuxrangs entre cent-gardes. Là, chacun prenait sa placeà fantaisie, excepté les personnes désignées pourla droite et la gauche

. Histoire des théâtres de société. ^ ? ?. && ? À pleines mains. Lorsque lImpératrice était prête,nous raccompagnions chez lEmpereur ; puis, pré-cédées dun des préfets du Palais, Leurs Majestésentraient dans le salon des cartes, où se tenaientles invités formant un grand cercle. Le Prince don-nait la main à lEmpereur ; je tenais la main duPrince, et ma mère et mon père ouvraient degrands veux en moi faisant signe de me tenir droit.On passait alors dans la salle à manger de deuxrangs entre cent-gardes. Là, chacun prenait sa placeà fantaisie, excepté les personnes désignées pourla droite et la gauche Banque D'Images

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RM2AFMYK0–. Histoire des théâtres de société. Dorine. Par la suite, elle plut beaucoup dans la lette des Trois cousines de Dancourt, dans Lisede Lenfant prodigue, dans Lucinde de Loracle.dans Herminie de Tancrède, etc. Les programmes comportaient surtout des oeu-. La marquise de Pompadour, daprès Latour. œuvres du répertoire, de tragédies, Boissv,espace francophone - Dancourt, Dufresny, Gresset, Voltaire, opérasmôme. » M1 de Pompadour, dit le Duc de Luynes, est la seule femme qui joue fort bien. Ilécrivait ", ceci pour lui, il sadressait à son histoiredesth,capot00CL

RM2AFMM2H–. Histoire des théâtres de société. Tmn-rnlitrt alftïdedtson rûledw ; gt ;-ertlle dfSCli ; madame !. mtolfort jptreoil lltm l pas rnffirt iitujlt qut su" (daprès un dessin de Daumier.) un peu froid, un peu trop dans son rôle, un peutrop posthume ; puis enfin Théophile Gautier lui-même faisait le docteur, un pantalon extraordi-naire, grimé, enluminé, peinturluré à faire peurà toutes les maladies énumérées par Diafoirus, léchiné plice, le geste en bois, la voix transposée,travaillée, tirée sur le principe ne sait doù, des lobes latéraux du eu-veau, de lépigastre, du calcanéum de ses serres, une voix enrouée, extravagante,

RM2AFMPRN–. Histoire des théâtres de société. i5o propres quelles en sont malpropres. Quand on ditdun » général essuyer des revers . il semble que lemot sappliquerait mieux à une bonne dentant. "Frossard a été père nourricier et général mal-heureux. Moins dun un après le carnaval en pendentif. Représentation théâtrale donnée chez S. A. I. la princesse Mathilde enprésence de S. M. lImpératrice et du Prince Impérial, à loccasion] delanniversaire deMa naissance du Prince. (Daprès une estampe ju temps.t lequel il prodiguait ses soins à son alumne, pour-bach le balayait, et il était emmené prisonnier enAllemagne.

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RM2AFMN2K–. Histoire des théâtres de société. Répétition du Joueur de Flûte dans latrium de S. A. I. le tableau de princeNapoléon G. Boulanger. (Daprès llUusir.it chez la marquise de Beaumont, voir et entendrelopérette Rosa la Rose. A ce moment la théàtro-manie faisait rage k Paris. Il y paraît aux jour-naux du temps ; les caricatures nous racontentquelle fureur saisit les particuliers qui, parlexemple incités de Compiègne, se ruaient dans la led-maturgie. Reportez-vous à la collection des seize pages fameuses que Daumier donna au Charivarien i85&Lt ;) : Quelle verveI quelle fantaisie, quel un decondenser

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