Image d'archive à partir de la page 350 du Dictionnaire de physiologie (1900). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph04riche Année : 1900 CÅUR. 3il dOniontre encore une expÃrience qui pleinement que la thÃorie» Biuir pai soutenue.KE est de tous points irrecevable. Si l'on injecte l'aorte par la veine pulmonaire, sur rÃussit â remplir les artères coronaires, quoi(iue les l'alvules¯moà sij;des aient Ãtà relevÃes par le passage de l'injection. De son cÃ'tà F.ndem.en.n prouve sur le cÅur sÃparà du corps, que, lorsqu'on remplit cet organe d'un liquide et qu'on simule les mouvements des ventricules, la SCÉ

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Archive image from page 350 of Dictionnaire de physiologie (1900). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph04rich Year: 1900 CÅUR. 3il encore une expÃrience qui dOniontre pleinement que la thÃorie soutenue pai' Biuir.KE est de tous points inadmissible. Si l'on injecte l'aorte par la veine pulmonaire, on rÃussit â remplir les artères coronaires, quoi(iue les l'alvules sij;moïdes aient Ãtà relevÃes par le passage de l'injection. De son côtà E.ndem.in.n prouve sur le cÅur sÃparà du corps, que, lorsqu'on remplit cet organe d'un liquide et qu'on simule les mouvements des ventricules, ces mouvements se traduisent par des oscillations du môme ordre dans la colonne de mercu;e d'un mano- mètre mis en rapport avec l'artère coronaire. On voit ainsi, au moment de la contraction du ventricule, le niveau du mercure s'Ãlever, et inversement, lorsque les parois du cÅur relouinentà leur po-ition primitive. D'aulre part, Donuf.rs a de nouveau constatà que les piilsalions aitÃiielles des coronaires à l'Ãtat normal sont syiichrones avec la systole ventriculaire, et les expÃriences de RUiji.nger ne font que conliiraer cette opinion en montrant que les valvules sigmoïdes ne se relèvent jamais assez contre les parois de l'aorte pour venir obturer les orifices des vaisseaux cardiaques. Les choses en Ãtaient là , lorsque parurent les travaux de Wittich, qui sont en dÃsaccord absolu avecles conclusions de Hyrtl. Tout d'abord cet auteur affîrme que l'embouchure des artères coronaires se trouve complètement fermÃe chez un grand nombre de iMammifÃres et d'Oiseaux par le I. Pulsations dans l'aorte. Kir, . SI. II. Vitesse clans la coronaire. (D'après RED.iTEi..) l.iord supÃrieur des valvules sigmoides. Il ajoute, en outre, qu'en rÃpÃtant l'expÃrience de Hyrtl, consistant à remplir les artères coronaires par l'injection des veines pulmo- naires, il n'a jamais pu rÃussir cette opÃration tant que le liquide Ãtait pous

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