. /^JGONOZOOID si PALPON JELLY Texte polype-fig. 25. Physalia physalis. Un gonodendron les jeunes après le retrait de trois branches. Spécimen, Lanzarote no. 2. Les chiffres se rapportent au nombre d'subinfère, nectophore-sections roulement (non illustré) sur chaque extrémité, de la direction générale x 9. sous-terminal section a une longue tige nectophore (") dans cette position. Le terminal palpons avec leurs jelly-polypes sont visibles dans les premiers stades de croissance de l'gonodendra (PI. XXII, fig. 4). de spécimens bien développés le plus ancien palpons à la base des branches plus gonodendral atteignent une taille considérable (texte-f

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. /^JGONOZOOID if PALPON JELLY POLYP Text-fig. 25. Physalia physalis. A young gonodendron after removal of three branches. Specimen, Lanzarote no. 2. The numerals refer to the number of subterminal, nectophore-bearing sections (not shown) on each end branch, x 9. sub-terminal section has a long-stalked nectophore («) in this position. The terminal palpons with their jelly-polyps are visible in the earliest growth-stages of the gonodendra (PI. XXII, fig. 4); in well- developed specimens the oldest terminal palpons at the bases of the larger gonodendral branches reach a considerable size (Text-fig. 25). No further budding occurs from a terminal section. Growth of the gonodendra proceeds by buds zvhich develop on the sub-terminal sections and which give rise by dichotomy to a successive series of * The jelly-polyp was called by Chun (1897a) and Steche (1907) the 'Gallert-polypoid'. It develops characters closely resembling in some ways those of the nectophore or asexual medusoid (see page 351).

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