Journal d'agriculture pratique . vés en très bon état, la paillereste toujours sèche, l'état doit être indispensablequand elle presséspour lexporlation mise en bulletins de vote. Avant de traduire en chiffres le montantdes économies réalisées grâce au hangar,nous devons établir exactement le prix derevient de la construction. 1 of prescription drugs mètre carré par un hangar sur poteaux, les constructeurs demandent unprix aulour qui varie de 10 francs, suivant lanature des matériaux employés, la charpente bois ou ferpour et, pour la couverture, tuiles, ardoises, tôles ondulées ou ardoisesmétalliques. Mais nous somm

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Journal d'agriculture pratique . vés en bon état, la paillereste toujours sèche, condition indispensablequand elle doit être mise en ballots presséspour lexporlation. Avant de traduire en chiffres le montantdes économies réalisées grâce au hangar, nous devons établir exactement le prix derevient de la construction. Pour couvrir 1 mètre carré par un hangar sur poteaux, les constructeurs demandent unprix qui varie aulour de 10 francs, suivant lanature des matériaux employés, bois ou ferpour la charpente et, pour la couverture, tuiles, ardoises, tôles ondulées ou ardoisesmétalliques. Mais nous sommes ici dans desconditions très spéciales, où certaines disposi-tions deviennent absolument indispensables.La première condition pour que lentasse-ment des récoltes puisse se faire dune façonéconomique, cest que la disposition de lacharpente ne comporte ni poutres, ni pou-trelles, ni liens, ni entraits, de telle sorte quelespace disponible soit absolument libre etnoffre aucun obstacle à la manutention des. gerbes qui doivent élre amenées au sommetde chaque travée jusque sous le toit. Chaqueferme doit alors former un seul arc supporté, à chaque extrémité, par des poteaux en boisou en fer (fig. 56). Ce but nest bien atteint quepar|unefermeentièrementmétallique qui seulepeut offrir assez de résistance pour supporterla toiture, étant donnée, surtout, la largeurentre les poteaux qui ne devra pas être demoins de 20 mètres et atteindre 24 mètres, sicest possible. Cette nécessité, presque inévitable, davoirrecours au fer est déjà une cause de plus-value ; lobligation, pour supporter la toiture, davoir des poteaux très élevés, vient encoreaugmenter la dépense qui saggrave, enoutre, de la nécessité davoir une couverturequi présente toute garantie au point de vue de la solidité et de lélanchéité. 11 ne faut pasoublier, en effet, que le moindre défaut dansla couverture, permettant à la pluie de péné-trer, pourrait entraîner de gross

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