L'illustration : journal universel . laissez vide. (Juimpor lincrédulitédes-te au prestidigitateur esprits forts/ que lui importentle dédain des poètes, le reprimande desèrudits et les louanges ironiques dufeuilleton ? La foule nest-elle pasconquise et charmée ? Ce nest paslà Marguerite Valois, ne la Margue-rite des Marguerites, la perle desprincesses, si grave dans les gravesaffaires, si savante avei les philo-sophes, si fine mouche avec les hom-mes dI^lat, et limagination la pluspoétique de son temps ; dune telleprincesse, tout lart de M. Scribenavait les rien à faire. Il lui lalhiit^uik Marguerite plus acc

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L'illustration : journal universel . let vide. (Juimpor-te au prestidigitateur lincrédulitédes esprits forts/ que lui importentle dédain des poètes, le blâme desèrudits et les louanges ironiques dufeuilleton? la foule nest-elle pasconquise et charmée? Ce nest paslà Marguerite do Valois, la Margue-rite des Marguerites, la perle desprincesses, si grave dans les gravesaffaires, si savante avei les philo-sophes, si fine mouche avec les hom-mes dI^lat, et limagination la pluspoétique de son temps; dune telleprincesse, tout lart de M. Scribenavait rien à faire. Il lui lalhiit uik^Marguerite plus accommoilanle, en-jouée dabiiril, au sourire inamovi-ble, amoureuse à ses heures, senti-mentale dans loccasion, suflisam-ment déliée pour se donner lesgants de ses défaites, spirituelledailleurs comme Vllériliere ou luDemoiselle à nuiriôr, et puis lo ha-sard ferait le reste, llienheureiixhasard en vérité, puisquil sap-pelle Madeleine llrohan. Allons-nous répéter ici ce que vous au-rez lu partout? Une llour de jeu-. analysés, ;t vrai que lilrc-Français. — Mademoiselle Madeleine Brohan, rùle do la reine Marguerite, dans les Contes de la reine de Navarre. nesse aimable et souriante, telle quelle dut sépanouir au | que ce théâtrefront de la vraie Marguerite dans ses dix-liuit ans, le port | quon suppose V w J.*» <-

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