La célébration du centenaire de la bataille de Lundy's Lane, vingt-cinquième, juillet mil neuf cent quatorze . est venu et nous avons roulé en arrière,jusqu'à sa très ardente la lutte s'est mou. H était alors environ neuf et sombre comme une poche avares. Quand est venu le Scotts Hercules swift brigade comme une fusée. Et la charge - et clignote dans le noir se batta-lions les yeux. La nuit était pleine de feu-gémissements, des acclamations et des cris ; puis à travers le bruit et la fureur un autre son brokein- le rugissement d'un grand vieux canard-gun a fracassé le reste de thedin ; il a fallu deux minutes pour le charger et un autre pour le mettre gratuitement. Ev

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The centenary celebration of the battle of Lundy's Lane, July twenty-fifth, nineteen hundred and fourteen . came and we drove them back, Until with its very fierceness the fight grew slack. H was then about nine and dark as a misers pocket. When up came Hercules Scotts brigade swift as a rocket. And charge — and the flashes sprang in the dark batta-lions eyes. The night was full of fire-groans, cheers and cries; Then through the sound and the fury another sound brokein— The roar of a great old duck-gun shattered the rest of thedin; It took two minutes to charge it and another to set it free. Every time I heard it an angel spoke to me; Yes, the minute I heard it I felt the strangest tide Flow in my veins like lightning, as if, there, by my side. Was the very spirit of Valor. But twas dark—you couldntsee— And the one who was firing the duck-gun fell against me And slid down to the clover, and lay there still; Something went through me — piercing — with a strange, swift thriU The noise fell away into silence, and I heard as clear asthunder The long, slow roar of Niagara; O the wonder. THE MILITARY PARADE ARRIVING AT THE BATTLEFIELD.

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