La côte des pins . V[ Jfifc. Le relique DE L'OCCUPATION était aussi bon que subjugué. À Boston, on croyait que les esthéeacts étaient de présager une formatableinvasion de toute la Nouvelle-Angleterre. Après un séjour de huit mois, la garnison britannique a pris le congé de Castine en avril 1815, laissant derrière eux des souvenirs de balles et de routs, de lévets et de théatres amateurs, comme suffirent les potins de table de thé d'une génération entière. Compte tenu de tous ces hauts et bas, l'histoire de Castine, sans aucun doute, s'avérerait bien plus intéressante que le recitalof sec de ce qui a été tant de fois répété. Onewould comme un A

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The Pine-tree coast . V[ Jfifc. RELIC OF THE OCCUPATION. was as good as subjugated. At Boston theseacts were believed to foreshadow a formidableinvasion of all New England. After a stay ofeight months the British garrison took itsfinal leave of Castine in April, 1815, leavingbehind such memories of balls and routs, oflevees and amateur theatricals, as sufficed forthe tea-table gossip of a whole generation. In view of all these ups and downs, theunwritten history of Castine would, no doubt, prove far more interesting than the dry recitalof what has been so many times repeated. Onewould like an account of some of the soulage-ments of garrison life, — the flirtations, thepromenades, the boating-parties, the dinner-parties ; in short, to know whether those perfidious Britons carried off withthem the susceptible hearts of the Castine maidens. The most agreeable stroll out of the village that I know of begins at theold fort, and follows the shore round to the lighthouse at Dices Head, past thesummer colony that has sprun

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