La découverte de la Vénus, Adonis mort c. 1650. Vénus, la déesse de l'amour, a encouragé son amant mortel Adonis pour chasser seul le jeu le plus facile. Pourtant, il a insisté sur la poursuite des sangliers, qui finalement frappait à mort. Dans cette scène, Vénus découvre le jeune homme dépouillé de sa jeunesse, mais la peinture conserve éternellement dans un état de perfection. Ce paradoxe correspond à des jeux de mots dans la poésie italienne du xviie siècle, avec laquelle de nombreux artistes ont cherché des parallèles dans leur travail. Ce tableau provient d'un poème de 1623 de Giovanni Battista Marino. Le peintre reste inconnue, bien que le litre sophistiqués

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• Dimensions: 6000 x 4533 px | 50,8 x 38,4 cm | 20 x 15,1 inches | 300dpi
• Photographe: Heritage Images

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Venus Discovering the Dead Adonis, c. 1650. Venus, the goddess of love, urged her mortal lover Adonis to hunt only the easiest game. Yet he insisted on pursuing boar, which eventually gored him to death. In this scene, Venus discovers the young man robbed of his youth, yet the painting eternally preserves him in a state of perfection. This paradox corresponds to wordplay in Italian poetry from the 1600s, with which many artists sought visual parallels in their work. This painting derives from a 1623 poem by Giovanni Battista Marino. The painter remains unknown, although the sophisticated literary reference, dramatic use of light, and vivid use of colour demonstrate the artist’s awareness of trends converging in Naples in the mid 1600s.

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