La mort de Procris, c.1540. Giorgio Ghisi (italien, 1520-1582), d'après Giulio Romano (italien, 1492/99-1546).Gravure; feuille: 40.4 x 57.5 cm (15 7/8 x 22 5/8 po.); repère plateau: 39.7 x 57.2 cm (15 5/8 x 22 1/2 po.).Dans l'histoire compliquée de Procris et de cephalus, racontée par le poète Ovid (43 BC–AD 17), la jalousie contrecarre tragiquement leur véritable amour et leur fidélité.Craignant que céphalie aime une nymphe, Procris espionne son mari pendant qu'il chasse.Quand céphalie entend que Procrus rougit dans les bois, il l'oublie pour le jeu et lance sa lance magique qui ne manque jamais sa marque.Dans cette impression, le

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• ID de l’image: 2H0YDXA
• Taille du fichier: 23,4 MB (2,1 MB Téléchargement compressé)
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• Dimensions: 3400 x 2402 px | 28,8 x 20,3 cm | 11,3 x 8 inches | 300dpi
• Date de la prise de vue: 4 janvier 2016

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The Death of Procris, c. 1540. Giorgio Ghisi (Italian, 1520-1582), after Giulio Romano (Italian, 1492/99-1546). Engraving; sheet: 40.4 x 57.5 cm (15 7/8 x 22 5/8 in.); platemark: 39.7 x 57.2 cm (15 5/8 x 22 1/2 in.). In the complicated tale of Procris and Cephalus, told by the poet Ovid (43 BC–AD 17), jealousy tragically thwarts their true love and fidelity. Fearing that Cephalus loves a nymph, Procris spies on her husband while he is hunting. When Cephalus hears Procris rustling in the woods, he mistakes her for game and throws his magical spear that never misses its mark. In this print, the chorus of expressive satyrs and nymphs mourning her death highlights the heartbreaking drama of this love story. Romano’s intricate composition also includes Aurora, the goddess of dawn, in her chariot, and distant buildings that refer to the couple’s home in Athens.