. La plante, une illustration de la vie biologique de l'animal . Cellules polyliedrales irrégulières de la pce de tlie plus ancienne. Ainsi aussi les cellules cubiques peuvent devenir rectangulaires quatre-siddprismes, ou même être tellement comprimé que pour supposer l'apparence des fibres, comme on le voit dans la section annexée de la rind de la commune a;ourd. Section verticale de l'arrière de la gourde. Ainsi, il est évident que les cellules peuvent, dans une certaine mesure, changer leur forme, sans changer leur nature ou leur identité de leur fonction. Lorsque les cellules de plantes sont bordées par courbe au lieu de 40 LES TISSUS OP PLANTES de plan

• Contributeur: Reading Room 2020 / Alamy Banque D'Images
• ID de l’image: 2CH2RFJ
• Taille du fichier: 7,1 MB (256,9 KB Téléchargement compressé)
• Autorisations: Modèle - non | Propriété - non
• Dimensions: 1416 x 1764 px | 24 x 29,9 cm | 9,4 x 11,8 inches | 150dpi

Informations supplémentaires

Cette image appartient au domaine public, ce qui signifie que le droit d’auteur a expiré ou que le titulaire du droit d’auteur a renoncé à ses droits. Les frais facturés par Alamy couvrent l’accès à la copie haute résolution de l’image.

Cette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de reportage.

. The plant, an illustration of the organic life of the animal . Irregular polyliedral cells from tlie pith of tlie elder. So also cubical cells may become rectangular four-sidedprisms, or even be so much compressed as to assume theappearance of fibres, as is fully seen in the annexed sectionof the rind of the common a;ourd.. Vertical section of the rind of the gourd. Thus, it is evident, that cells may, to a certain extent, change their form, without changing their nature or theidentity of their function. When the cells of plants are bounded by curved instead 40 THE TISSUES OP PLANTS of plane surfaces, as for instance, when tliey assume acylindrical or retain tjieir spherical form, it is evident thatthe walls of contiguous cells will only come into contact atcertain points of their sm-face, and that triangular spaceswill be left between the cells. These intercellular passagesare beautifully apparent between the cylindrical cells whichconstitute the pith of the stem of Anemone Pennsylvanica, and afford the most satisfactory proof that these cells do notform a continuous and homogeneous mass, but are in realityseparate cavities aggregated together and communicatingwith each other through their contiguous walls. Fig. 8.

Recherche dans la banque de photos par tags

• bookcentury1800
• bookdecade1850
• bookidcu3192
• booksubjectbiology