La vie de Guiteau et l'histoire officielle de l'affaire la plus excitante sur record : en cours le procès de Guiteau pour assassiner les PresGarfield … . Libérer le HANDCUF ASSASSINS. Vie et procès d'OUITEAV. 49 La lettre suivante a été prise à partir de la poche de détenus au siège de la police : 2 juillet, 1881.à la maison blanche : Les présidents mort tragique était une triste nécessité, mais il permettra d'inclure l'partyand républicaine sauver la République. La vie est un rêve fragile, et il mat-ters peu lorsque l'on va. Une vie humaine est de petite valeur.Pendant la guerre des milliers de braves garçons descendirent avec une larme. Je suppose

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The life of Guiteau and the official history of the most exciting case on record : being the trial of Guiteau for assassinating PresGarfield … . UNLOCKING THE ASSASSINS HANDCUF. LIFE AND TRIAL OF OUITEAV. 49 The following letter was taken from the prisoners pocket at police headquarters: July 2, 1881.To THE White HOUSE: The Presidents tragic death was a sad necessity, but it will unite the Republican partyand save the Republic. Life is a flimsy dream, and it mat-ters little when one goes. A human life is of small value.During the war thousands of brave boys went down with-out a tear. I presume the President was a Christian, andthat he will be happier in Paradise than here. It will beno worse for Mrs. Garfield—-dear soul!—to part witli herhusband this way than by natural death. He is liable to<ro at any time, anyway. I had no ill will toward the Presi-dent. His death was a political necessity. I am a lawyer, a theologian and a politician. I am a Stalwart of the Stal-warts. I was with General Grant and the rest of our menin New York during the canvass. I have some paper- forthe press which I shall leave with Byron Andrews and his(^journalists, at 1420 New

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