La vie de la Vénérable Marie Marguerite simple, religieuse de la Visitation Sainte-Marie du monastère de Paray-le-Monial en Charolois, morte en odeur de sainteté en 1690 . L A V I E DE LA VÉNÉRABLE SIMPLE MARGUERITE MARIE&gt ; RELIGIEUSE DE LA VISITATION Sainte-marie de Paray en Charolois.LIVRE DEUXIÈME. Son entrée en Relipon^ ^-^ les vertus quelle un pratiquées dans le cloître. E fut le vingt-cinqui"nie jour de mai de lan je que Madcmoifelle^yr.Alacoque entra au Monaftcre dela Vifitation iainte de Marie de Paray le Monial-enharolois.elleavoit alors environ vingt trois ans.Onla remettre entre les mains de

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La vie de la Venerable Mere Marguerite Marie, religieuse de la Visitation Sainte-Marie du Monastere de Paray-le-Monial en Charolois, morte en odeur de sainteté en 1690 . L A V I E DE LA VENERABLE MERE MARGUERITE MARIE> RELIGIEUSE DE LA VISITATION SAINTE MARIE de Paray en Charolois.LIVRE SECOND. Son entrée en Relipon^ ^-^ les vertus quelle a pratiquées dans le Cloître. E fut le vingt-cinqui«nie jour de Mai de lan i^yr.que Madcmoifelle Alacoque entra au Monaftcre dela Vifitation de iainte Marie de Paray le-Monial enharolois.elleavoit alors environ vingt trois ans.Onla remit entre les mains de la Mère Anne-FrançoifeThouvanr MaîtrcHc des Novices, pour lui faire com-mencer les épreuves. Cctoit une hlle dune pièce rare 6c lohde, dune fidélité entière à la pratique de fa Règle, 6c à tous qs pluspetits devoirs de fon état. Elle avoic déjà été Supérieure, 6c fon me-. Marguerite Marie. Liv. II. .^ rite la fie élire encore dans lafiiice. Une des plus i remarquables en-tre les bonnes qualiccs, cctoic un talent particulier pour fortifierJes aines dans leurs peines, & pour les conduire à une vertu malc&i courageufe, avec cet efprit de difcernement qui fc^^ait fiirementik promprement démêler ce qui vient de Dieu dans la conduite desamcs, davec ce qui neft letFet que de lillufion, ou de ces ferveurspaflligeres qui nont dautre fond que limagination ou lamour pro-pre. Sous les yeux dune MaîtrefTe Ci éclairée, la jeune prétendante fiedans la vertu le progrès quon pouvoit attendre de fa ferveur. Dà-bord Dieu grava profondément dans fon efprit cette penfée, dontrimprelîion ne seffaça plus le refte de Ces jours 3 fcjavoir quune Mai-fon lleligieufe eftunlieu faint j que celles qui lhabitent font def-tinées, non à fervir Dieu dans une vertu commune , mais à deve-nir de vraies faintes: que pour devenir telles, il faut renoncer àfoi-même

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