Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . ations directes, vraies, intelligibles. Son imagination est celle dupeintre, qui ne cherche pas des pensés, comme lépleuvain, mais bien laforme correspondant à ses sentiments. Un sentiment originaux, formeoriginale. Sans doute cette tranche de la nature signifie de nom-breux déqueues. Ceux-là, il ne les a pas, lui. Il les a décomsés, il est dissocié. Sans son effort dexprimaire auto que possible nettement et sim-plement limage née ainsi sous linfluence de ses sensations, gettranche de la nature fait limpression dêtre

Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . ations directes, vraies, intelligibles. Son imagination est celle dupeintre, qui ne cherche pas des pensés, comme lépleuvain, mais bien laforme correspondant à ses sentiments. Un sentiment originaux, formeoriginale. Sans doute cette tranche de la nature signifie de nom-breux déqueues. Ceux-là, il ne les a pas, lui. Il les a décomsés, il est dissocié. Sans son effort dexprimaire auto que possible nettement et sim-plement limage née ainsi sous linfluence de ses sensations, gettranche de la nature fait limpression dêtre Banque D'Images

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RM2AXF30M–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . texte.) 57. Sous-bois (Hors texte.) 58. Effet dautomne „. .... .... .... .... .... „ „ „„ „ 126 59. Pluie dor (Hors texte.) 60. „ „„ „„ „„ „„ „. „„ „„ „„ „„ „„ „„ ,„ 127 61. Lisière de forêt (hors texte.) 62. Lisière de forêt (hors texte.) 63. Meules de foin „, .... .... .... ,„ „ „ 132 64. Schème de composition (i) , .... .... ,„ „, 133 65. Schème de composition (II) .... „„ ™. .... .... 134 66. Schème de composition (III) .... .. .... .... „, .... .... .... 135 67. Schème de composition (IV) .... ... 136

RM2AXFWM4–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . Que le paysagiste soit naïf, spon-tané, impressionnable !» This conception fut difficile à se généraliser. Les paysagistesaltemands restèrent longtemps les «metteurs en scène» de la nature.Mais lorsque Cotman, Cox, et surtout Constable, péignirent Angleterre,Rousseau, Diaz, Dupré, Corot et Daubigny, la France, linterpréta-potion tique des beautes, par la nature simple. A lépoque où Ladislas de Paâl fitson apparition, la condition dominante, cétait lexpression singère du SO

RM2AXFAMX–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . 47. EFFET DE NUAGES SOMBRES. De Paâl, lui, cherchera sormais dun tableau à lautre, une tonalité différente, après le vert jaune le brun rougeàtre, puis le gris, commedaigny Daubigny. Mis lorsque lharmonie de son âme fut détruite — se jadischez Hais — le monde devint obscur également for lui. Il retourne auxtonalités mélancoliques, sombres, comme jadis à Dusselclorf. Mai quelcontraste entre les deux gammes sombres ! A Dusseldorf, il édiaitencore les transitions molles, le fondu réglat en un gris-brunâtre du cou-cher de soleil

RM2AXFNDT–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . elui-ci, Achenbach, de Dusseldorf, à émouvoir, surprendre, effrayer, par la disposition des hommes des queues à côté des autres. Sur lesol rocheux, vente, paréil à un polyper, de la montagne du premier plan, plaque brindherbe, le lycopode aux feuilles lacéolées, sont disposésavec lesprit méticuleux et dun sec botaniste. Tout nest que lignesfragmented, analysées, détaillées ; un endossement soigné effrayant deformes mesquines. Le peintre travla au fusain, mais il met l'accent sur la détrempe les tons foncés, en hachant me with d

RM2AXF7TP–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . de Paàl avait porté son attention sur lana-trie du sol, mais il avait observé plutôt la couche qui le recouvrit; laverdure, le pré, en dessinant sobre noigeuschaque in brdherdrait ; riende laorganisme de la croûte terreste, de sa conformation vigneuse. Ce nest que plus tard quil rendit la terre par des touches pluslarges, plus des simples, plus ramassées ; auteur pour la forme que pourla couleur, il évole lentement, en se débarrassant du dessin minutieuxpour ne sarrêter aux éléments. Sans coline sablon-neuse, il f

RM2AXFNW2–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . Le poisonninfiltré dans son organe ou bien bien lébranlement cérébral causé parun malheur fortuit (PEut-être tous les deux) ravagèrent avec unérapidité effrayante lâme de cet homme du reste extraordinaire. Au début, les indices des seuls de son mal furent sa distraction, sesemportés subits, lassombrisent de son humeur, ses maux detête et lincapacité de concentr son attention. Dès ce jour, ses facultéssensitives errent cà et là sans fréin ; il en percent lesclave. En mêmetemps, sa volonté et son attention saltèrent, l

RM2AXFPT3–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . e parenté avec limagination deMunkâcsy, qui parfois, déjà au moment de la conception, a vu son imagede fantaisie presse en son ensemble et en son coloris. Limagina-lion de Paàl aussi conduit des images colorées, il compose en cou-murs, comme le Titien ou Delacroix. Les bouteaux sveltes et élancésqui, en entourage lénorme clairière, pour une route sous bois, luiappararent, dans leur rêve et leur esprit, à lair SON IMAGINATION. 63 lumineux du soir, comme sils eusent masqué des immentés mysté-rieuses où

RM2AXF6XM–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . 58. effet dautomne: fixateur les traits particuliers de chaque, individuellement, mais aussi de la forêtme, ce qui pouvait equipements réussir, tant donné la tendancedu être à vivre en société. Un jour, des effets mervilleux de colorisfruppent sa vision. Les branches des chambres se sont nouées une manièrefantatique les unes aux autres, elles se sont traversées par lesrayons du soleil, qui tachettent de lumières le gazon et replissentdune clardouce la pénombre cénée ; nulle partie obscuité com-plète, es

RM2AXFBMW–Ladislas de Paal, un peintre hongrois de l'École de Barbizon . tutilisé avec résultats, sachant que la couleur nid pas la couleur localede lobjet situé dans le lombre (Manet dit à ce propos quil ny a pascle local), mais que la couleur de lobjet voisalssi in reflüssi. Goethe reconnaître l'égaliement, sans se lamer la prèsencede lombre colorée, mais aussi la source de la couleur dans la couleur, ilsafflige de ce que les pilles nemploïent pas assez les reflets dansleurs propres variés. Le jeune Ruskin proclama que «cest une faussception que employeur des langues non modifié». Nid ce