Le magazine de la Nouvelle-Angleterre . ornement a commencé. Ils ont combattu avec des épines, des pistolets et des épées, et le thécontest était long et désespéré; mais que le chevalier blanc ou noir la victoire n'est pas enregistrée. Après l'inclinaison, la société a pris un avion de marches pour une salle de banquet, et après le banquet, une salle de bal était ouverte, dépeignée avec ses quatre-vingt-cinq miroirs, des festons de fleurs et un style lumineux et élégant de peinture. Quatre salles de dessin au même étage contenaient des panneaux latéraux avec rafraîchissements. Les chevaliers et leurs dames ont ouvert la balle, et à douziveoclock ont suivi des feux-travaux, et un dîner

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The New England magazine . urnament began. They fought with spears, pistols and swords, and thecontest was long and desperate; but whether the white or black knightshad the victory is not recorded. After the tilt, the company ascended a flight of steps to a banqueting -room, and after the banquet, a ball-room was flung open, decked witheighty-five mirrors, festoons of flowers, and a light and elegant style of paint-ing. Four drawing-rooms on the same floor contained side-boards withrefreshments. The knights and their ladies opened the ball, and at twelveoclock followed fire-works, and a supper, which was spread in a saloon oftwo hundred and ten by forty feet, ornamented with fifty-six large pierglasses, and containing alcoves with side-tables. There were one hundredbranch lights, eighteen lustres, three hundred wax tapers on the supper-tables, four hundred and thirty covers, and twelve hundred dishes. Theywere waited on by a great number of black slaves in Oriental dresses, withsilver collars and bracelets. 320. LAYING A LONG-DISTANCE LINE By FREDERICK RICE, JR.

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