Les merveilles du nouveau Paris- (1867) (14576976760).

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RM2CHEETT–. Les merveilles du nouveau Paris-- . reséparé, et qui, souvent aussi, ont été reconstituées au ministrede linpurique, il a les relations avec Rome, lanomination des archevêques, évoques et curés ; lamplica-tion des lois protectrices de la liberté de conscience et de conscience. Le ministère de la Marine et des colonies a lagérer-tion des ports et des arséniaux, le mouvement des forcesmariTimes, la nomination des oficiers de marine ; les mises de déportation ; la lécole de marine ; les consulats et l'administration des colonies pendent les françaises, excepté celle delérie, qui dédé

RM2CHCJH5–. Les merveilles du nouveau Paris-- . al, aux champs-Elysées, est très-curieux à visiter : M. le colonel Langlois y représente nosgrands épisodes militaires. (F. page 251.) Le Théâtre Séraphin fait les coupes des petits enfants. Vous pouvez également définir la classification des pièces jouées par des marionnettes que les pièces comquesdu Palais-Royal et des variétés ne doivent pas être mises à jour dans les certains les1. SERVICES DIVERS. Imprimerie impériale. — les Gobelins. — École militaire. — Musées Louvre, du Luxembourg, des Thermes et de Cluny, dartillerie. Autres services p

RM2CHCFE5–. Les merveilles du nouveau Paris-- . premierConsulrouvrit les Gobelins. On y copia des tableaux de gros, deGérard et de Girodet sous lEmpire, et des peintures deRubens sous la restauration. En 1826, suite à la fabrication des Gobelins.depuis hors, cette dernière doit être mise en œuvre de pourvoiries de differents châteaux de lÉtat, d'accord avec la loi de Beauvais, destinée aux autres travaux, hors route, hors route. Chevreul. École militaire, près du champ de Mars es

RM2CHD0XK–. Les merveilles du nouveau Paris-- . ne-Comédie), vis-à-vis du café Procope. Laisse séjour dans ce théâtre, justiquen 1770, fut lépoquela plus brillant de la Comédie-française. On y vit réunis, au milieu du dix-huitième siècle, Grandval, le Kain, Belle-cour, Préville, Mole, Monval, les Dugazon, les Duménil, lesClairon, les Concâble et tant autres. La salle actuelle par la richesse des spectateurs français et étran-gers, on en construisit une flèche sur lemplacementactuel de lOdéon, et la Comédie-française sy installaen 1782, après avoir été mis en suspension joué douze aux Tui-leries. La l

RM2CHFF54–. Les merveilles du nouveau Paris-- . able. Le séminaire de Saint-Sulpice avait alors, à Montrouge, une succursale ou un plutôt une maison de plaisance. Villa Cattaitune charmande, où rien manquait de ce qui constituele confort clérical et un peu mondain. This paisible ha-bitation, in laquelle les élettes privilèges faisaient parfoisdassez les longs séjours, était souvent visionné par la lélite duclergé; cetait là que venait se délasser de ses aux plusou moins apposoliques, frais de travail, frais de main-d'oeuvre. Son Excellence aimait avecpassion le jeu de billard, et la

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