. Les oblats de Marie Immaculée durant le premier cercle de leur existence . vons connexélement les hommes. Ces réunions exclusives furent toujours nom-breurs et recueillies. Des individus y apparaissaient quon navait jamarisvus à léglise. Nous en Connaissons plusieurs qui, pour sy rendre, faisaient, chaque soir, un jet confortable, de Perrache, par exemple, cest-à-dire, qui transitent la ville dans une sa longue. A plusieurs remains, on consta, du haut de la chaise, et disséminésdans la foule, des messieurs avant des notes sur des carnets. Étaent-cedes agents de la police

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. Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . vons convoquéspécialement les hommes. Ces réunions exclusives furent toujours nom-breuses et recueillies. Des individus y apparaissaient quon navait jamaisvus à léglise. Nous en connaissons plusieurs qui, pour sy rendre, faisaient, chaque soir, un trajet considérable, de Perrache, par exemple, cest-à-dire, qui traversaient la ville dans toute sa longueur. A plusieurs reprises, on constata, du haut de la chaire, et disséminésdans la foule, des messieurs prenant des notes sur des carnets. Étaient-cedes agents de la police secrète, chargés de surveiller les Missionnaires ?Cest possible. En tout cas, si quelques dénonciations furent formulées, elles neurent aucune suite. LYON 257 Sans encombre, les saints exercices se déroulèrent, suivant le pro-gramme, et avec un succès qui dépassa toutes les espérances. La com-munion générale des hommes fut très imposante. Le clergé paroissialétait ravi, et les fidèles régénérés gardèrent de la mission un souvenirineffaçable.. Le P. Lavillardière.Fondateur et Supérieur de la maison de Lyon. Cest le 19 mai 1888, queles Oblats se fixèrent à Lyon. Ils plantèrent, dabord, leur tente sur les pentes méridionales de la colline de Fourvière, au chemin de Choulans : mais cette habitation nétait que provisoire.Deux ans après, durant 1 été de 1890, ils sétablirent dans lintérieur mêmede la ville, rue de la Charité ; puis, un peu plus tard, dans un superbeimmeuble bâti sjjécialement i)our eux. 17 258 EN FRANCE Mgr Foulon, qui les avait vivement appréciés à Nancy, les accueillittrès favorablement dans sa ville archiépiscopale. Récemment, néanmoins, il avait refusé à don Bosco mourant lautorisation dy fonder une maison, et avait écarté semlîlable prière exprimée par une autre société de Mission-naires. Quoique, pendant ces premières années, les Oblats ne fussent encoreque trois, ils avaient suscité une telle symp

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