Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . une ancienne écurie. Cette nuit-là, sur les reprises de dormir. De même, les autres nuits. Et, depuis, les réfrénants ne sont plus retenus. §4Loeuvre de régénération pour les condamnés de la justice humaine. La paix ainsi reconquise, les réparations allèrent bon train, etbientôt la maison fut complètement sur une hauteur. Dès son ouverture, enavril 1859, elle est une quarantine denfants. Moins de deux ansaprès, elle en comptait trois cents déjà. Il fallut donc lagrandir consi-dérablement. GLEXCREE 619 Lédifice un cent trente mètres de fa

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Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . une ancienne écurie. Cette nuit-là, on put dormir. De même, les autres nuits. Et, depuis, les réfrénants ne sont plus retenus. §4Lœuvre de régénération pour les condamnés de la justice humaine. La paix ainsi reconquise, les réparations allèrent bon train, etbientôt la maison fut complètement restaurée. Dès son ouverture, enavril 1859, elle eut une quarantaine denfants. Moins de deux ansaprès, elle en comptait trois cents déjà. Il fallut donc lagrandir consi-dérablement. GLEXCREE 619 Lédifice a cent trente mètres de façade. En haut, un dortoir longde près de cent mètres, avec, à cliaque extrémité, les chambres dessurveillants. Au rez-de-chaussée, des salles de classe de trente mètres, les ateliers, la cuisine, le réfectoire, les dépendances : buanderie, bou-langerie, boucherie, laiterie, basse-cour, greniers, etc. La construc-tion coûta plus de deux cent cinquante mille francs. Malgré son éloignement de la ville, létablissement fut, dès lorigine, . Le Reforinatory de Glencree. entièrement éclairé au gaz, fourni par une usine créée de toutes pièces, et dont la direction était confiée à un membre de la communauté. A ces trois cents détenus une douzaine de Frères convers Oblats, aussi remarquables par lesprit religieux et le dévouement infatigable, que par des aptitudes diverses, enseignaient des métiers, dont laconnaissance leur servirait à gagner honnêtement leur vie, quandils seraient rendus à la liberté ! Les uns soccupaient dagriculture, dautres étaient maçons, cordonniers, tailleurs, peintres, vitriers, plombiers, gaziers, menuisiers, ébénistes, etc. Ceux-ci arrivèrent àfaçonner des meubles de très bon goût et dun travail extrêmementdélicat. Aussi les commandes affluèrent-elles du dehors. Les salons desplus riches bourgeois et même des nobles dIrlande sornaient dechaises artistiques, de fauteuils, de sofas confectionnés à G

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