Mahammoud Traore (75, non représenté) soutient une famille de 21 personnes grâce à son agriculture dans le village de Dougouninkoro, Mali. Mais le changement climatique a affecté les tendances météorologiques ces dernières années et il n'a pas été capable de croître autant qu'il l'avait fait auparavant. Aujourd’hui, les réserves alimentaires de sa famille sont toujours à court de nourriture avant de pouvoir récolter sa nouvelle récolte. Par conséquent, il y a toujours deux mois chaque année où la famille fait l’expérience de la faim et qu’ils doivent souvent s’endetter pour acheter ou emprunter de la nourriture. Ici, le petit-fils de M. Traore, Yaya (2), est muni d’un mortier et d’un pilon pour moudre de la farine à l’extérieur de la maison de sa famille.

Mahammoud Traore (75, non représenté) soutient une famille de 21 personnes grâce à son agriculture dans le village de Dougouninkoro, Mali. Mais le changement climatique a affecté les tendances météorologiques ces dernières années et il n'a pas été capable de croître autant qu'il l'avait fait auparavant. Aujourd’hui, les réserves alimentaires de sa famille sont toujours à court de nourriture avant de pouvoir récolter sa nouvelle récolte. Par conséquent, il y a toujours deux mois chaque année où la famille fait l’expérience de la faim et qu’ils doivent souvent s’endetter pour acheter ou emprunter de la nourriture. Ici, le petit-fils de M. Traore, Yaya (2), est muni d’un mortier et d’un pilon pour moudre de la farine à l’extérieur de la maison de sa famille. Banque D'Images

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Contributeur:

Jake Lyell / Alamy Banque D'Images

ID de l’image:

2GG4JG0

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Modèle - non | Propriété - nonUne autorisation est-elle nécessaire?

Dimensions:

4480 x 6720 px | 37,9 x 56,9 cm | 14,9 x 22,4 inches | 300dpi

Date de la prise de vue:

22 février 2021

Lieu:

Ségou Region, Mali, West Africa

Informations supplémentaires:

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RM2GG4JGG–Mahammoud Traore (75, non représenté) soutient une famille de 21 personnes grâce à son agriculture dans le village de Dougouninkoro, Mali. Mais le changement climatique a affecté les tendances météorologiques ces dernières années et il n'a pas été capable de croître autant qu'il l'avait fait auparavant. Aujourd’hui, les réserves alimentaires de sa famille sont toujours à court de nourriture avant de pouvoir récolter sa nouvelle récolte. Par conséquent, il y a toujours deux mois chaque année où la famille fait l’expérience de la faim et qu’ils doivent souvent s’endetter pour acheter ou emprunter de la nourriture. Ici, la belle-fille de M. Traore, Oumou Dabou (36), tient sa fille Fatimata (9 mois), en dehors de la famille h

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