Manuel de médecine générale . le fil le plus près de la voûte palatine. Cettedernière manière de faire est prégérable, les fils déjà placés enaul gênent bacs le placement des autres (fig. 512).] DIVISION DU VOILE DU PALAIS. 263 fixation des sutures 6°. — il est assez indifférent en soi décomposeur par serrer lune ou lautre des sutures. Jai dit toute-mousse pour quelle raison la suture supérieure reste devoir devant la première. Quand on fait un nœud simple assuré par un second nœud,tandis quon serre celui-ci, lautre risque de se desserrer, et lasature est manquée. R.-N. Smith A cru échap

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Manuel de médecine opératoire . le fil le plus près de la voûte palatine. Cettedernière manière de faire est préférable, les fils déjà placés enaul gênent moins le placement des autres (fig. 512).] DIVISION DU VOILE DU PALAIS. 263 6° Fixation des sutures. — Il est assez indifférent en soi decommencer par serrer lune ou lautre des sutures. Jai dit toute-fois pour quelle raison la suture supérieure semble devoir êtreserrée la première. Quand on fait un nœud simple assuré par un second nœud, tandis quon serre celui-ci, lautre risque de se desserrer, et lasature est manquée. R.-N. Smith a cru échapper à ce péril enemployant le nœud du chirurgien, cest-à-dire en passant deuxfois lun des bouts du fd dans lanse de lautre ; mais précisémentce nœud a été dès longtemps abandonné, à cause de sa faci-lité à se relâcher. Guyot a inventé un instrument spécial, tropspécial pour être adopté. Le nœud de Fergusson paraît déjàplus sur. Il fait avec lun des bouts du fil un nœud non serré.. FiG. 513. Fixation des fils avec les tubes de Galli modifiés. dans lequel il engage lautre bout; il serre le nœud alors, le faitglisser à laide dune pince jusque sur le voile, assez pour que lacoaptation soit complète; après quoi il lassure par un nœud ordi-naire. Enfin, Galli a imaginé de remplacer tous ces nœuds par unpetit tube de plomb, long de 3 à 4 millimètres, dans lequel onengage les deux bouts de lanse de fil. On le pousse ensuite jus-que sur la division en tirant les fils en même temps que laffron-tement se fait. alors, à laide dun davier à mors plats, onécrase le tube sur les fils, qui, si lécrasement est bien fait, sontaussi solidement réunis quavec tous les nœuds du monde (tome I, fig. 65). Le seul inconvénient est davoir en contact avec les par-ties trois petits corps étrangers. On peut donc essayer daborddu nœud double ordinaire ou du nœud de Fergusson; mais silsviennent à se relâcher, au lieu de renouveler la sutu

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