Négociation secretes touchant la paix de Munster et d'Osnabog : ou Recueil général des préliminaires, instructions, lettres, mémoires &concession ces négociations, pubis leur commencement en 1642, justiquà la conclusion en 1648 . ge que vous pourrez procerau Prince Palatin qui sefré , par sa Majgarre Qui a beau-putsched de fujet de peu efperer de laîné r Pourla prodige qui fait, & pour être le très-éloi-gné du refpeef. Qu'il dois au Roi & à la Rei-ne de la Grande Bretagne, défile les affai-res vont fait le tour en clair. Il eft bien vraiquil paraît quelque lueur

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Negociations secretes touchant la paix de Munster et d'Osnabrug : ou Recueil general des preliminaires, instructions, lettres, mémoires &cconcenant ces négociations, depuis leur commencement en 1642, jusquà leur conclusion en 1648 . ge que vous pourrez procurerau Prince Palatin qui seft déclaré Catholique, fera bien agréé par Sa Majefté , qui a beau-coup de fujet de peu efperer de laîné r pourla profeffion quil fait, & pour être très-éloi-gné du refpeéf. quil doit au Roi & à la Rei-ne de la Grand Bretagne, defquels les affai-res vont toujours en déclin. Il eft bien vraiquil paraît quelque lueur du côté du Midi, &du Nort, qui fait efperer quelque foûtien enleurs affaires. Et certes le foin que Monueurle Cardinal Mazarini a pris daider les Hiber-nois Catholiques, & entretenir les Ecoffois aprocuré ce bien; fi bien fe peut dire ce quieft expofé à divers accidens. Les Lettres de Rome du 10. & 11. du paf-fé nous ont apris que le Mémoire , duquel jevous ai envoie la copie, & que javois remisà Monfieur le Nonce, y eft arrivé, & quil afrappé diverfement les efprits de ceux qui enont eu communication. Les Serviteursdecette Couronne lont admiré, & fait efpererA 3 que. ce le Duc deTofcane. G NEGOCIATIONS TOUCHANT LA PAIX 1646. que la protection donnée aux Barberins ac-querrera grand nombre de ferviteurs à cetteCouronne, argumentans du moins au plus., comme à dire : fi sétant démenti on le protè-ge, que ne doit point fe promettre celui quilèra confiant & ridelle en fon devoir ? Le Pa-pe en a été émû jufquà un reffëntiment defièvre , quon attribue à une fluxion que lafaifon lui a caufée , sétant détrompé des bel-les chimères dont on la entretenu, que laFrance mollirait sil paroiflbit ferme , &quelle ne prendrait point à cœur une chofequi ne regardoit que quelques particuliers. Onattend des nouvelles de ce qui aura éclaté en-fuite de cette Dépêche. LAmbafiadeur deVenife parle haut à lavantage de la France.On mena- Florence com

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