Oaxaca De Juarez, Mexique. 29 janvier 2020. Partie femme groupes autochtones, y compris l'OPIC, « Consejo Indígena Popular de Oaxaca » Prenez dans la rue pour demander la justice pour plus de 40 meurtres de membres de l'organisation et pour demander des réponses aux demandes sociales sur la sécurité. Ils ont directement critiqué le chef du Secrétariat de la sécurité, Raúl Ernesto Salcedo Rosales, et ont demandé sa démission. Ils ont affirmé que sous l'administration actuelle, plus de 3000 meurtres ont été commis, sans pouvoir traiter de la question de la violence et du manque de sécurité dans l'État.

• Contributeur: meanderingemu / Alamy Banque D'Images
• ID de l’image: 2ART70F
• Taille du fichier: 36,6 MB (1,4 MB Téléchargement compressé)
• Autorisations: Modèle - non | Propriété - non
• Dimensions: 4000 x 3200 px | 33,9 x 27,1 cm | 13,3 x 10,7 inches | 300dpi
• Date de la prise de vue: 29 janvier 2020
• Lieu: Mexico

Informations supplémentaires

Cette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de reportage.

Oaxaca de Juarez, Mexico. January 29th, 2020. CIPO, “Consejo Indígena Popular de Oaxaca” (english: Popular Indigenous Council of Oaxaca) take to the Street of the capital to demand justice for more than 40 murders of members of the organization and to demand responses to social demands on safety. They directly criticized the head of the Security Secretariat, Raúl Ernesto Salcedo Rosales, and asked for his resignation. They claimed that under the current administration there has been more than 3000 murders, without being able to address the issue of insecurity in the state. Credit: meanderingemu / Alamy Live News

Recherche dans la banque de photos par tags

• cipo rfm
• les securités
• mars
• mexico
• oaxaca de juarez
• pancartes
• probl
• protestation
• publique
• sûreté