PARIS - le 19 août : gratte-ciel sur la Société Générale, le 19 août 2008 à Paris. Le bâtiment a été achevé en 1995 et est de 167m de hauteur (10ème plus grand à Paris

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Dimensions:

2005 x 3008 px | 17 x 25,5 cm | 6,7 x 10 inches | 300dpi

Date de la prise de vue:

19 août 2008

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RF2E5DE52–Le 19 novembre 2008, le juge Renaud Van Ruymbeke, juge d'instruction, se présente à l'audience de l'ancien Trader français Jerome Kerviel de la banque française Société générale (SG) à l'unité d'enquête financière (pôle financier) du palais de justice de Paris. Kerviel, accusé d'avoir causé des pertes de plusieurs milliards d'euros, aurait abusé de la confiance de ses patrons et exploité des trous dans le système de sécurité de la banque, a été accusé en août 2008 de « complicité d'insertion frauduleuse de données dans un système informatique ». Un de ses avocats a déclaré le 12 octobre 2008 que les opérations fictives de Kerviel étaient validées par t

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RF2E5DE2W–L'ancien Trader français Jerome Kerviel (C) de la banque française Société générale (SG) arrive avec ses avocats Caroline Wassermann (L) et Bernard Benaiem (R) pour une audition par le juge Renaud Van Ruymbeke, magistrat d'investigation, à l'unité d'enquête financière (pôle financier) du palais de justice de Paris, France, le 19 novembre 2008. Kerviel, accusé d'avoir causé des pertes de plusieurs milliards d'euros, aurait abusé de la confiance de ses patrons et exploité des trous dans le système de sécurité de la banque, a été accusé en août 2008 de « complicité d'insertion frauduleuse de données dans un système informatique ». Un de ses avocats a dit le octobre

RF2E5DE35–L'ancien Trader français Jerome Kerviel (C) de la banque française Société générale (SG) arrive avec ses avocats Caroline Wassermann (2e L), Bernard Benaiem (2e R) et Francis Tissot (R) pour une audition par le magistrat instructeur, le juge Renaud Van Ruymbeke, à l'unité d'enquête financière (pôle financier) du palais de justice de Paris, France le 19 novembre 2008. Kerviel, accusé d'avoir causé des pertes de plusieurs milliards d'euros, aurait abusé de la confiance de ses patrons et exploité des trous dans le système de sécurité de la banque, a été accusé en août 2008 de « complicité d'insertion frauduleuse de données dans un système informatique ». Un

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