Femme dans le camp de réfugiés syriens de Dyarbakir 1797. Le 5ème jour après la mort d'une personne, ils nourrissent les gens. La tradition est maintenue dans les camps de réfugiés. Alors que je traversais le camp de réfugiés syriens de Dyarbakir en Turquie, ils m'ont demandé de rester pour un repas. C'était l'oncle de cette femme qui était mort. Je lui ai demandé de quoi son oncle était mort. « il était jeune, dit-elle, et n'avait pas de maladie. Je pense qu'il est mort de mal de coeur.' Turquie. Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/femme-dans-le-camp-de-refugies-syriens-de-dyarbakir-1797-le-5eme-jour-apres-la-mort-d-une-personne-ils-nourrissent-les-gens-la-tradition-est-maintenue-dans-les-camps-de-refugies-alors-que-je-traversais-le-camp-de-refugies-syriens-de-dyarbakir-en-turquie-ils-m-ont-demande-de-rester-pour-un-repas-c-etait-l-oncle-de-cette-femme-qui-etait-mort-je-lui-ai-demande-de-quoi-son-oncle-etait-mort-il-etait-jeune-dit-elle-et-n-avait-pas-de-maladie-je-pense-qu-il-est-mort-de-mal-de-coeur-turquie-image385036232.html
RM2DABWJ0–Femme dans le camp de réfugiés syriens de Dyarbakir 1797. Le 5ème jour après la mort d'une personne, ils nourrissent les gens. La tradition est maintenue dans les camps de réfugiés. Alors que je traversais le camp de réfugiés syriens de Dyarbakir en Turquie, ils m'ont demandé de rester pour un repas. C'était l'oncle de cette femme qui était mort. Je lui ai demandé de quoi son oncle était mort. « il était jeune, dit-elle, et n'avait pas de maladie. Je pense qu'il est mort de mal de coeur.' Turquie.
Portrait d'une femme à Damas, Syrie. Banque D'Imageshttps://www.alamyimages.fr/image-license-details/?v=1https://www.alamyimages.fr/portrait-d-une-femme-a-damas-syrie-image385036171.html