Poèmes des œuvres de Charles Cotton; récemment décorés par Claud Lovat Fraser . Et regardez la mer derrière, Pas croustillant avec n'importe quelle brise du vent, La tempête a abandonné les vagues, Et sur la terre commence sa brave. Hark, hark leur voix de la hausse.Ils déchirent le Welkin avec leurs Cris;le très Rocks leur sensation de fureur, Et comme les Ivres malades se dèrent, et se déchire. Plus forts et plus forts encore, ils viennent,les Cataractes de Niles à ces lames sont stupides;Le Cyclope à ces lames sont encore.Dont les Anvils secouent la colline brûlante. Toutes les étoiles étaient-elles enlightned Skies, Aussi pleine D'Oreilles que Les Yeux étincelants, Ce hochet sur le Chryst
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