. Traité des maladies des femmes grosses, et de celles qui sont accouchées, enseignant la bonne et véritable méthode pour bien aider les femmes en leurs accouchemens naturels, & les moyens de remedier à tous ceux qui sont contre nature, & aux indispositions des enfans nouveau-nés : avec une description très-exacte de toutes les parties de la femme, qui servent à la génération ; le tout accompagné de plusieurs figures convenables au sujet. e ils dévoient faire dès le jour précèdent j je ne laiflai.pas de lui tyrer fon enfant du ventre, pour ne la pas lailïer tout-à"fait fans aucune efperance, ainf

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. Traité des maladies des femmes grosses, et de celles qui sont accouchées; enseignant la bonne & véritable méthode pour bien aider les femmes en leurs accouchemens naturels, & les moyens de remedier à tous ceux qui sont contre nature, & aux indispositions des enfans nouveau-nés: avec une description très-exacte de toutes les parties de la femme, qui servent à la génération; le tout accompagné de plusieurs figures convenables au sujet. e ils dévoient faire dès le jour précèdent j je ne laiflai.pas de lui tirer fon enfant du ventre, pour ne la pas lailïer tout-à»fait fans aucune efperance, ainfî que ces Chirurgiens avoient faitfme fervant pour ce fujet dun inftrument de mon invention, au-quel jai donné le nom de Tiretête, dont je trouvai lufage fi com-mode , que je ne croi pas que lon en puitfè jamais inventer de plusutile en ces fortes doccafions j ôc comme il me parut que cet en-fant étoit mort, par plufieurs fignes qui le dénotoient certaine^ment, je ne fis aucune difficulté de le tirer avec cet inftrument.Cette femme nonobftant le très-mauvais état oii elle étoit, devantque je lui tiraffe du ventre cet enfant mort, ne laiflà pas de vivreencore plus de fix femaines, & feroit même échappée, fi aprèsque je leus ainfi accouchée, elle na voit pas eu un grand flux deventre avec fièvre, qui la fit enfin mourir î le fecours que je lui^ayois donné ne lui ayant feryi quà prolpnger fes jours.. ïïome II» & 13^ Ohfirvmonsfur la gfoffejje y^ laccouchement Observation CLXXIV. t>^une femme quifejjtfmre lopération du retranchement des dcu:c nymphes , laquelle même femme eut Cannée fuiVAnte , un enfant qui préjent-oit le bras, LE 2 5. Juillet I 6-]6. je fis lopération du retranchement desdeux nymphes , à une femme qui me pria de lui faire cetteopération • tant parce quétant obligée., à ce quelle me dit, dal-ler fouvent à cheval, lallongement de ces nymphes quelle avoittrès-grandes , lui caufoit par le froiflement, une doul

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