Les oeuvres de M. Poisson nous^ . je SANS TITRE ; SCÈNE EST VIII. ORONTE, M. DE BOISLUISANT, CÉCILE, Lisette, MERLIN. ORONTE. Fbrtifes^ J Es dun fa : v©us moi voyez confus;Vidime du public, le Mercure mexpofe nécc ,, de la(f.zé décourer teute choie:mais pour nous dérober aux furprifes des fors ^Dans mon apparrement nous ferions en repos*Encrons. D'être debout à la fin on Ce lafle. M. DE BOIS LUISANT Ceft vous incommoder. ORONTE. Ceft , Non moi faire gracejNe la différez poinr. Entrez Madame. M. DE B O I S L U S A N T. Entrons"Dun deffein que jai fait nous nous entretiendrons, O R O N T E à Merlin.Merli

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Les oeuvres de mr Poisson . us^ i SANS TITRE; iS SCENE VIII. ORONTE, Mr. DE BOISLUISANT, CECILE, LISETTE, MERLIN. ORONTE. J^ Es fbrtifes dun fa: v©us me voyez confus;Vidime du Public, le Mercure mexpofe , A la nécc(f.zé décourer teute choie :Mais pour nous dérober aux furprifes des fors ^Dans mon apparrement nous ferions en repos*Encrons. Dêtre debout à la fin on Ce lafle. M. DE BOIS LUISANT Ceft vous incommoder. ORONTE. Non , ceft me faire gracejNe la différez poinr. Entrez Madame. M. DE B O I S L U IS A N T. Entrons»Dun deffein que jai fait nous nous entretiendrons, O R O N T E à Merlin.Merlin , vo.la ma bourfe , & je connois ton zelc^Donne men , je te prie , unepreuve nouvelle. 2^4 LA COMEDIE Deux ou trois Confifeurs font mes proches Voisins *De ce quils ont de bon fais emplir deux BafliiiSa MERLIN. A montrer mes talens roccafion eft belle^5çavoir ferrer la Mule eft wn art où jexcelle»Secrétaire bannal, je men vais eifayer, jPuis quil me met en œuvre , à men faire paye^^ ^ Fm du fécond A^e^. SANS TITRE. iSf ACTE III- SCENE PREMIERE. M^ DE BOISLUISANT, ORONTE; M. DE BOISLUISANT. Oui, Monsieur, ceft fans fard quarec vou5je mexplique, Il lîeft rien de plus propre & de plus magnifique.Je connois quatre Ducs, & plus de vingt MarquisQui nont pas à mon gré des meubles plus exquis.Je n*ai vîi que Miroirs, que Pendules, que Loi^ rres , Que Tableaux mis au jour par des Peincrts iL luftres iEt ce qui ma furpris, ur»e CollationOù la dclictrefle & la profufîon... , • O R O N T E.Et de grâce , Monfieur, un peu pltjs dindulgenceiJai fan^ doute abulé de votre complaifance.Je vous en fais excufe, & vous conjjre....M. DE BOISLUISANT. Hé biei»! i-U LA COMEDIE Puifque vous le voulez je nen dirai plus rierrï-—Diibns un moc ou deux lur une autre maciere*Je vous ai là dedans ouverr mon ame entière.Vous fçavez le penchant qui merïcraîne vers vous5Et ma fille, en un mot, neil plus Ci près de nous^Peut-être que contraint par lafped de CécileUn refus à

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