Les oeuvres de monsieur Poisson . evez , fans faire dautre enquêre.Avoir eu ce jour-la grande douleur de ccce. F L A V I O. Mais Crifpin cefle , un peu , eft tonne chagrin je moins.De ce quelle a fait-là , n*aurai-je aucuns témoins ?Etoic-ce ton Carrofle ? COLIN. Ho non , ccroit un fiacre.F L A V I O.Comment ctoit le vcru Check ?C O L I K. Comme un poacre,CR ISPIN.Comme ils font uo. F L A V R O. Quo : fejle Carroffe ◎ in ?COLIN. Non.Sur la vint prendre. F L A V I O ?Qji COLIN. Mme liûnion.FLA VI Madame Lifimon vtrtueufe O.eft & : fac^e,et jaurois délictuelle, Crilpm, den prendre aucun onv- braae Eij ; un

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Les oeuvres de mr Poisson . evez , fans faire dautre enquêre.Avoir eu ce jour-la grande douleur de ccce. F L A V I O. Mais Crifpin , cefle un peu , Ton eft chagrin I moins.De ce quelle a fait-là , n*aurai-je aucuns témoins ?Etoic-ce Ton Carrofle ? COLIN. Hô non , ccroit un Fiacre.F L A V I O.Comment ctoit vcru le Cocher ?C O L I K. Comme un poacre, CR ISPIN.Comme ils font ous. F L A V r O. Quo: î fejle en ce Carroffe ?COLIN. Non.On la vint prendre. F L A V I O. Qji ?COLIN. Madame liûnion.FLA VI O.Madame Lifimon eft vtrtueufe &: fac^e, Et jaurois tort, Crilpm, den prendre aucun onv- braae ; a Eij 52. LE5 FEMM ES Son amour pour ma femme eft plein dhonnêteté^ CRIS PIN.Lhonneur de femme a femme eft fort en fureté, F L A V I q.Le Bal va-t-il finir ? COLIN. Hé, Monfîeurî il commence»J L A V I O.Ma femme viendra donc fort tard ?COLIN. Hô, je le penfe»F L A V I O.Va lattendre. C R I S P I N.Il Dourra lattendre jufquau jour, F L A V I 0.Crifpin , allons dormir attendant fon retourî Fin du deuxième ACle^. COQUETTES. 55 ACTE III SCENE PREMIERE. F L A V I O , C R I s P I N. F L A V I O. TU vois bien quen dormant, Crlfpin , la nuit(e pafle , C R r S P I N.Je fens de plus, Mondeur, que le fommeil délaff« F L A V I O.Ma ffmme nêtre pas encore de retour • C R 1 S P I N.Lon courtencetenips-ci le Bal jufqucs au jour. F L A V I O.Mais que faire ici donc attendant quelle vienne i C R I S P I N.Vous fouf&irez , Monfieur , que je vous entre- tienne :Si jufqua Ton retour il faut attendre ici , .Qu7 faire que caufer ? Caufons donc.F I A V I O. Queft-ce-ci !Eli; U LES FEMMES Elle, courir le Bal « Ce nefl pas-là la caufe^ C R I S P I N.Par ma foi, mon Monfleur , eîle court autre cbo^f£t je me doute ici de ce que len peut voir. F L A V I O. De quoi te doutes-ru ? Dis, je le veux fç^voir;Et devant quil foit nuit, quelque prix quil meûcoûie. C R I S P I N.Ne vous doutez-vous point deceaue jemedoutçl PLAVIO/Mon, r R I S P I N. Non ; Madame joue î elle a joué fi bien ;

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