Poèmes des œuvres de Charles Cotton; récemment décorés par Claud Lovat Fraser . 32. Peut-être à lui, ils Torches sont, Qui guide nuits Sovereigns voiture somnolent, Et lui ils peuvent être si proches, Mais nous ils ni la lumière, ni la oreille. Sinon, ces petites étincelles de lightAre Nayls qui pneumatiques les roues de nuit, Qui à de nouvelles stations encore sont apportées.Comme elles rongrent ou le coffre-fort gloomy. Ou Nayls qui bras le hof de chevaux, Qui piétinent le toit de marbre, Et frappant le feu dans l'air, Nous Mortels appellent une étoile de tir. Thats toute la lumière que nous recevons maintenant.À Moins que ce que les Vulcans de belching donnent.Et ceux produisent un tel

Poèmes des œuvres de Charles Cotton; récemment décorés par Claud Lovat Fraser . 32. Peut-être à lui, ils Torches sont, Qui guide nuits Sovereigns voiture somnolent, Et lui ils peuvent être si proches, Mais nous ils ni la lumière, ni la oreille. Sinon, ces petites étincelles de lightAre Nayls qui pneumatiques les roues de nuit, Qui à de nouvelles stations encore sont apportées.Comme elles rongrent ou le coffre-fort gloomy. Ou Nayls qui bras le hof de chevaux, Qui piétinent le toit de marbre, Et frappant le feu dans l'air, Nous Mortels appellent une étoile de tir. Thats toute la lumière que nous recevons maintenant.À Moins que ce que les Vulcans de belching donnent.Et ceux produisent un tel Banque D'Images

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RM2AXKCN0–Poèmes des œuvres de Charles Cotton; récemment décorés par Claud Lovat Fraser . 30. ^h(le soleil Se Met en Quatre, et il est allé dormir sur la foire de la princesse des Dee^, Dont Le Boom est sa retraite fraîche, Lorsqu'il s'évanouit avec sa chaleur appropriée: Il Vole leurs Narines flamboyantes Coolin spanache de la piscine céruléenne; Tandis que les roues plongeent NavesDeep dans les vagues occidentales de Columbuss. Des grandes truies de fumée à l'ombre les Skies Beautaises : qui enchèrent les larmes gélides yeux lumineux des mondes adieuIn gelidés de chute de Dew.

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